mercredi 1 juin 2011

Koh Phangan - L'arrivée

Vendredi 13
Après dix jours passés à voyager entre Bangkok et le Nord, à marcher dans les montagnes et les forêts, il est temps de nous ressourcer dans les îles du Sud. Pour arriver, il nous faut d'abord prendre l'avion pour Koh Samui, puis prendre le bateau jusqu'à Koh Phangan. Le prix du billet d'avion que nous avons acheté la veille dans une agence de voyage thailandaise : 150 euros (moins cher que sur e-bookers).

A l'aéroport, un couple d'israéliens nous prend pour des israéliennes. C'est vrai qu'autour de nous, à la porte d'embarquement, les israéliens grouillent autour de nous, mais de là à confondre le français et l'hébreu, le gars devait être sous champis...

Environ 1h30 de vol pour rejoindre le sud et dés l'arrivée, tout est très bien organisé pour l'achat de billets de bateau. Le bateau n'est à prendre qu'à 16 heures, nous avons deux heures devant nous, deux heures pendant lesquelles nous nous baignons, et chantons des chansons israéliennes, mangeant des olives israéliennes, et buvant de la bière (thaïlandaise). Je baisse mes lunettes de soleil sur mon nez, le bateau est là. Ca y est, laissez-moi tranquille, je ne répond plus de rien.

Sur place, au port de Haad Rin, Alicia et moi sommes confrontées à un terrible dilemme : on va où ?
Deux possibilités. Soit on reste à Haad Rin, là où il y a la fête et les israéliens, soit on monte quelques jours dans le Nord, sauvage, magnifique et vide, pour se reposer de nos aventures de la semaine dernière.  Heureusement, nous ne sommes pas les seules dans ce cas. Deux des israéliens rencontrés à l'embarcadère, ne savent pas non plus où aller. Come with us, we are going to the North of the island, it seems very beautiful. Ils ne se font pas prier et décident de nous suivre. Cool, déjà deux potes pour envahir avec nous le Nord de l'île. Au bout de deux minutes de trajet, le chauffeur s'arrête, il ne veut pas nous emmener dans le Nord, no it's too far, and thé road is NOT good at all. Les israéliens, Avi et Liav, comprennent que dans le Nord, il n'y a pas la fête, donc ils abandonnent l'idée et décident de rester à Haad Rin. Il nous proposent de rester dans l'hôtel qu'ils ont choisi, mais après visite des chambres, nous constatons que le rapport qualité-prix est complètement foireux, We still wanna go to the North, but we'll come black in a couple of days in Haad Rin. C'est ainsi que nous quittons les israéliens et faisons l'expérience pendant 30 minutes de la not-good-at-all road, avec le chauffeur conduisant comme un cinglé.

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