jeudi 29 avril 2010
Je mets quoi dans mon caddie?
dimanche 18 avril 2010
Jusque là rien de grave ! Vacances obligées, France bloquée!
Arrivée a Paris, ligne 1 perturbée… Et hop un taxi !
Rien de grave jusque là, c’est la société qui paye, et j’avais prévu 10 mins d’avance !
Embouteillages à gogo, 5 mins de retard, les pieds en compote, grosse course, pluie, j’arrive trempée !
Rien de grave jusque là, mon boss m’adore, et me propose même de me laisser du temps pour faire du shopping pour le repas de ce soir avec les chinois.
Chemin du retour, ligne 1 « trafic interrompu » cette fois. Je décide de profiter de la plus belle allée du monde… Bondée de monde justement !
Vas-y que je te marche sur les pieds, que je veux te prendre en photo, « et Mamzelle c’est quoi ton blaze ? »…
Rien de grave jusque là, je vais juste faire du shopping !
Diner à la perfection, à part la traductrice qui était bloquée dans le RER A pendant plus de 2h.
Rien de grave jusque là, j’ai une License en Chinois, un haut en soie chinoise de chez LV, et mon boss m’aime encore plus !
Le lendemain, levée à 6h, direction l'aéroport en taxi. Embouteillages à gogo, encore, arrivée a aéroport, 3h d’attente…
QUOI ? Qu’est ce que j’apprends ? Un volcan en Irlande ?! « Aéroport fermé jusqu'à nouvel ordre ?! ».
Personnel dépassé, aéroport en panique, enfants qui braillent – parents qui hurlent,…
Rien de grave jusque là, heureusement qu’il y a le train.
Arrivée a la gare, file d’attente de 2h30, normal, enfants qui braillent, parents qui hurlent…
QUOI? QU’est ce que j’apprends ? SNCF en grève ?! « Gare de Montparnasse inactive jusqu'à nouvel ordre ?! »
Rien de grave jusque là, ai-je oublié de préciser ma rencontre de la veille que j’ai laissé dormir a l’hôtel ?!
Et hop un taxi ! Je retourne sous la couette ! Vacances obligées , France bloquée !
mardi 6 avril 2010
Les différents types d'achat
- la nécessité : il n’y a plus de lait pour le petit déjeuner ; j’ai besoin d’une robe pour un mariage. Un achat qu’on est obligé de faire.
En général, on va plutôt chercher un prétexte d’utilité histoire de se déculpabiliser d’avoir dépensé tout son argent. J’arrive donc à de nouveaux types de motifs d’achat :
- le prétexte d’utilité : Je suis en train de me promener, de regarder les vitrines, j ai envie de dépenser mon argent, sans raison particulière, mais je vais trouver une raison et la rendre particulière. « Tiens ces petits moules à gâteaux sont magnifiques…Ah je comprends maintenant pourquoi avant je ne faisais jamais la cuisine, je n avais pas le matériel adéquat »
- l’envie de se faire plaisir : humeur dépensière ou au contraire mauvaise journée nous entraînent à acheter pour nous conforter ou nous réconforter.
- le coup de cœur : je viens de repérer cette robe dans un magasin et je sais qu’elle est pour moi, conçue, inventée, dessinée, cousue pour moi. Je l’essaye, et elle me va à ravir. Oui j’avais bien raison. Je dois l’acheter. Après avoir payé, on ne regrette vraiment pas d’avoir dépensé de l’argent puisque même si l’achat n’est pas utile ou nécessaire, on est content.
Je précise « content » car il existe des achats que l’on n’est pas content d’avoir effectués. Je parle en effet des achats de type compulsif. Je n’ai pas forcément envie d’acheter, mais quelque chose de très fort au fond de moi va agir à ma place en m’intentant l’ordre de sortir ma CB de mon porte-monnaie. Je parle évidemment de deux achats qui me connaissent bien :
- l’achat con : con, parce que j’achète quelque chose d’inutile alors que deux minutes avant je me suis interdite de dépenser mon argent inutilement. Par exemple, un T-shirt sympa me plait dans un magasin, mais je vais me dire que je dois économiser et finalement je vais dépenser ce montant en nourriture que je vais ingurgiter sans même en profiter.
- L’achat que l’on regrette à la minute où l’on paye : j’hésite, je sens que l’article ne vaut pas la peine d’être acquis et je me rends compte qu’au moment où je suis en train de finalement l’acheter. Et pour me sentir mieux je me dis que ça me plaira arrivée chez moi. Mais ça ne me plais jamais, et la chose qu’elle quelle soit finit à la poubelle, au fond d’un placard ou abandonnée sur une chaise de la maison.
Tu te reconnais???
Y a-t-il d'autres motifs qui te poussent à acheter??