jeudi 27 janvier 2011

How I met...50 reasons to have s°°!

En attendant avec impatience la reprise de How I met your mother, j'ai décidé de revenir sur les épisodes qui ont marqué la série. Parmi eux, The Naked Man, Saison 4 - Episode 9, un des classiques de la série. 
Peut-on coucher avec une personne juste parce qu'elle s'est mise nue? 
Pour Marshall, on ne fait l'amour que par amour. Mais ses amis, qui ne sont pas du même avis, décident de lister 50 raisons.
1 – Parce que tu n’arrives pas a dormir
2Sexe de réconciliation
3 – Sexe de rupture
4 – Un(e) ami(e) t’as parlé d’une nouvelle position

5 – Vengeance
6 – Pour se consoler
7 – En échange d’un toit
8 – Rien de bien à la télé
9 – Parce que tu es dans un hotel
10 – Curiosité
11 – Il pleut
12 – C’est la mi-temps
13 – Régime /Exercices
14 – Fêter une récente perte de poids
15 – Tu as finalement la chance de montrer a ton lit d’enfance un peu d’action
16 – Bal de fin d’année
17 – Vous êtes déjà à leur place et vous ne voulez pas avoir a déplacer votre voiture
18 – Montrer ta nouvelle lingerie
19 – Célébrer la victoire de votre équipe préférée et /ou candidat politique
20 – La chance de le faire dans un endroit spécifique (Ex : un avion, Burger King, la salle de bain)
21 – Pour prouver que ton couple n’est pas dans une routine
22 – Stress
23 – Tu viens de t’épiler les jambes
24 – Tu as oublié d’acheter un cadeau d’anniversaire
25 –  « Let’s get it on » de Marvin Gaye passe à la radio
26 – Célébrer la joie de vivre après une expérience proche de la mort
27 – Ta seule chance avec une célébrité
28 – Le temps d’un oeuf
29 – Prétexte pour ne pas nettoyer, étudier, ou n’importe quel autre travail
30 – Elle veut le faire
31 – Il fait froid dehors
32 – Egayer quelqu’un, par pitié
33 – Se maintenir au niveau des voisins
34 – Ton coloc’ n’est pas là et tu peux le faire sur le canapé
35 – Un rapport TRES protégé pour célébrer le fait que tu n’es pas enceinte
36 – Pour pratiquer
37 – Ils ont de l’air conditionné et toi non
38 – Parce que tu n’as pas encore eu de relation sexuelle avec une personne qui venait de ce pays
39 – Putain, vos mollets sont beaux dans ce short (Voir HIMYM pour comprendre)
40 – Appeler ou texter la mauvaise personne mais elle était d’accord quoiqu’il en soit
41 – Parce que elle ressemble a ta cousine super sexy
42 – Emménager dans un nouvel appartement
43 – Parce qu’il/elle te dit qu’il/elle t’aime mais tu n’est pas prêt a répondre en retour
44 – Le copilote qui saute sur la grenade d’un ami
45 – Les préservatifs vont périmer
46 – Ça devient un peu dur
47 – Sur un malentendu (Cheetos sexe, voir l'épisode)
48 – Pour renforcer une bonne hygiène (Rasage, brossage de dents etc)
49 – Pour changer de sujet
50 - l'AMOUR

jeudi 13 janvier 2011

Le mot du jour 1 : SOLDES

n. masc. plur.
Fléau de courte durée qui se répand très vite, à raison de deux fois par an dans le monde entier. Il touche principalement la gente féminine mais les hommes peuvent également être contaminés. Après la grippe saisonnière, les soldes apparaissent dans le peloton de tête des maladies du mois de janvier. 


A la différence de la grippe, qui affaiblit le corps, cette maladie aux symptômes très précis, modifie le comportement humain en le rendant beaucoup plus dynamique. Cris de joie, stress permanent, angoisse intérieure, fièvre acheteuse, impatience, pulsions en tout genre, tremblote, attitudes animales pour surgir entre deux portants comme l'aurait fait une panthère dans la jungle, rugir comme une lionne affamée et arracher telle une hyène l’habit tant désiré tenu par une autre hyène.


Ainsi, il n’est pas rare de voir des personnes adapter leur quotidien à cette maladie : heures de travail plus flexibles, pauses déjeuner plus longues, ou perte de toute notion du temps. Parfois, on les retrouve à 23h, paumées dans la rue, les bras chargés de sacs, à la recherche d’un magasin qui serait encore ouvert…



Ceux qui en sont atteint n’en souffrent pas mais leur entourage peut en ressentir les maux. Famine, comptes en banque vidés, et nouvelle décoration intérieure qui  ne se résume plus qu’à un amas de sacs et de vêtements de toutes formes et couleurs.

Cette maladie n’est donc pas si grave mais elle reste incurable. En effet, si vous l’attrapez, vous ne pourrez pas en guérir. Chaque saison, elle vous frappera et vous devrez faire preuve de volonté pour qu’elle ne ravage pas votre vie sociale. A l'heure, il n'existe pas encore de vaccin ou de centres de "désintoxication", mais la création d'un médicament n'est plus très loin.

lundi 10 janvier 2011

J'ai toujours rêvé d'être amie avec mes voisins !

Les voisins, c’est comme la famille : on les choisit pas. Et, comme la famille, on peut espérer tomber sur des gens sympas. Des gens, avec qui il est cool de cohabiter, avec qui l’on s’entend bien, avec qui l’on n’a pas de différends, avec qui l’on peut même partager certains moments de la vie de tous les jours. C’est comme la famille, je l’avais bien dit. Un voisinage pour moi, c’est un peu comme une grande famille, et c’est pour cette raison que j’ai toujours rêvé d’être amie avec mes voisins.

Je ne pourrais pas déterminer si mon rêve de gosse est dû à l’influence de mes lectures de l’époque (Cœur Grenadine et autres histoires d’amour débiles) ou à mon caractère de vouloir connaître tout le monde. En tous cas, je me souviens que dés mes 11 ans (l’âge où on commence à ouvrir les yeux), j’avais envie d’avoir une copine ou un copain dans mon immeuble. J’imaginais une meilleure amie chez qui je passerais toutes mes après-midi libres, avec qui ce serait ‘A la vie, à la mort’. Ou j’imaginais même un petit copain secret avec qui je pourrais me cacher dans les escaliers. Une vie, dont toutes les ados rêvent !

J’ai eu l’occasion de fréquenter mes voisins, mais ça n’a jamais été comme je l’avais rêvé. Pour commencer, je n’ai jamais eu le même âge que mes voisins. Soit les enfants étaient plus jeunes que moi, soit il n’y avait que des adultes et des couples de retraités. Je pense que la personne de qui nous étions la plus proche était la doyenne de l’immeuble, Mme R., 90 ans, chez qui nous allions manger des gâteaux polonais.

Il y a bien eu Basile, qui était à l’école avec ma sœur, chez qui nous allions jouer de temps en temps, mais il s’entendait surtout avec mon frère. Je me rappelle que nous nous amusions à effrayer sa petite sœur ou à faire courir le lapin nain dans les escaliers de l’immeuble…jusqu’à ce qu’une des voisines nous hurle dessus et nous n’avons plus osé recommencer. Les après-midi avec Basile, c’était fini.

Il y a eu aussi Benjamin, mon amour caché de 6e. Il n’habitait pas dans mon immeuble. Mieux : la fenêtre de la chambre de mes parents donnaient sur sa chambre. Alors, on se faisait coucou de chambre à chambre. J’avais même imaginé construire une passerelle qui relierait les deux chambres l’une à l’autre, bien qu’il habitait au 3e étage, alors que nous étions au 1er. Là aussi, ça n’a pas duré. Un jour, ma grand-mère nous a découvert (ma sœur, ma cousine et moi même). Qu’est-ce que c’est que ces manières ? Ca ne va pas de faire coucou aux garçons ! Benjamin aussi, c’était fini.

Il y a donc bien eu quelques moments sympas, mais il n’ont jamais été aussi intenses que je l’imaginais. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis attachée à la vie d’un immeuble, aux relations entre les voisins. On fait des rencontres n’importe où, alors pourquoi pas sur son lieu d’habitation ?
Ca fait déjà au moins un point en commun. J’aime bien l’idée de pouvoir s’entraider entre voisins, de pouvoir sonner à leur porte à la moindre occasion, et qu'ils osent faire de même à la mienne.  Je me suis toujours bien entendue avec mes voisins, mais il n’y a jamais eu d’esprit de « colocation géante » dans l'immeuble.

Jusqu’au jour où…

mercredi 5 janvier 2011

Triche or treat ?

Pendant mes crises de phobie scolaire, quand il m’est impossible d’aller en cours, je traîne au Starbucks en bas de chez moi. J’avoue que c’est assez pratique d’aller m’y installer soit pour travailler, soit pour écrire ou même pour regarder un film. De temps en temps, je reste juste à écouter les lycéennes qui vont y traîner en bande. Aujourd’hui est un grand jour.

A ma gauche, il y a une grande table en bois de 8 places au dessus de laquelle se trouve une lampe suspendue au plafond qui éclaire la surface entière de travail. Une bande de filles y est installée et font leurs devoirs sagement. A ma droite, une autre bande de filles beaucoup plus extraverties se racontent potins de promo, histoires de triche et anecdotes d’école buissonnière. Je ris sous ma cape. Les moyens de triche n’ont pas évolué d’un poil malgré le développement des nouvelles technologies.

Au collège et au lycée, la triche, c’était à la guerre comme à la guerre. Cahier sur les genoux, pochette transparente laissée comme par hasard sur la table, échange de réponses avec les voisins, copiage, antisèches dans les poches et les trousses…

Bien sûr, il y avait les geek-bricoleurs-tricheurs qui rivalisaient de créativité pour créer leurs antisèches. Ils passaient plus de temps à les fabriquer qu’ils n’en auraient mis pour apprendre leur leçon. Il y avait les étiquettes de tipp-ex, colle ou autre, fabriquées artisanalement, avec à la place des éléments de fabrication des outils de travail, les quelques points à retenir pour le contrôle. Certains allaient même jusqu’à acheter une montre pourrie et remplacer le cadran pas un rouleau sur lequel ils écrivaient leurs cours. Ils n’avaient plus qu’ à dérouler le contenu grâce à la mollette sur le côté. Je me souviens qu’une fois, ma sœur avait fabriqué (sur les conseils d’un site internet de triche), un système permettant de fixer sous la table son cours de manière à pouvoir le regarder dés qu’elle avait un trou de mémoire, puis à le cacher dés que la prof commençait à faire des rondes. Du ni vu-ni connu.

Je suis d’ailleurs allée faire un tour récemment sur un de ses sites. Pas que je n’aie besoin d’idées ludiques pour tricher en cours, mais c’était dans le but de découvrir jusqu’où peuvent aller les collégiens/lycéens pour tricher. Plein de sites sont consacrés à la triche en contrôle. Impressionnant !

Au lycée, je n’ai quasiment jamais triché. Pour la bonne et unique raison que je ne sais pas tricher. Un jour, au lycée, j’ai passé plus de temps à essayer de sortir mon cours de mon sac, qu’à essayer de réfléchir au sujet donné en dissertation d’économie. Résultat : 5/20 à mon devoir. J’étais en première, et j’avais plus que tout peur de l’autorité des surveillants et de la direction. Je ne suis pas du tout l’élève parfaite, mais la triche et moi, au lycée ce n’était pas possible. Les rares fois où j’ai triché, c’est pour des matières où les profs étaient inoffensifs.

Dans le supérieur, je me suis un peu plus durcie. La rude compétition entre les uns et les autres, nous rend plus fort, dans tous les domaines, notamment en contrôle face au pouvoir des surveillants. Ce n’est pas pour autant que je suis devenue une pro de la triche. La dernière fois que j’ai essayé de tricher, avec mon téléphone portable, mon cœur battait tellement fort de peur que j’ai limite cru qu’il allait sortir de mon corps.

Les filles à côté de moi continuent de piailler sur la triche. En histoire : Il est passé à côté de moi, et a vu mon cahier sur les genoux. « Mais que fais-tu avec ton cahier sur les genoux, Laura ? » - Euh, c’était comme ça, au cas où, ça me rassure. – OK.

Le bon vieux temps.

Si vous cherchez à tester des nouvelles astuces de tricherie, n'hésitez pas à aller faire un tour sur web-tricheur ou à taper sur google "tricher en cours". Vous serez surpris des idées de tricheurs confirmés !

Et vous? Quelles sont vos astuces pour tricher en cours?

lundi 3 janvier 2011

Weeds, c'est de la bonne...

...série !!

C'est même d'ailleurs de la très très bonne. A ce jour, je considère que c'est la meilleure série télévisée parmi toutes celles que j'ai pues voir. 

Pourquoi commencer? 

1. Un format agréable - 25 min par épisode
Assez long pour qu'il se passe des choses; assez court pour ne pas s'ennuyer.

2. Une histoire linéaire
Chaque nouvelle saison est différente de la précédente. L'histoire ne se répète pas, l'intrigue avance réellement.

3. Des personnages atypiques
A commencer par le personnage principal, Nancy Botwin, veuve, mère de deux enfants, aux amants multiples, qui se lance dans le deal de cannabis pour subvenir aux besoins de sa famille après la mort de son mari. Elle n'aurait pas pu trouver une autre activité??

Andy Botwin : beau-frère de Nancy, oncle cool, qui débarque dans la série pour aider Nancy dans sa vie. Il va tantôt s'engager dans une école rabbinique pour échapper au service militaire, puis devenir cuisinier sur le tournage d'un film pornographique, et aussi acteur (raté) de ce film pornographique. A un moment, il sera même passeur entre le Mexique et les Etats-Unis. 

Le dernier fils Botwin, Shane, perturbé parle à son père, alors décédé. Découvrez l'évolution de ce personnage dans les saisons suivantes.

Celia Hodes, est au début de la série la meilleure amie de Nancy. Elle est obsédée par son image personnelle et a honte de sa fille de 14 ans, Isabelle, homosexuelle et en surpoids.

Doug Wilson : conseiller et comptable de la ville qui finit par se retrouver en looser fini.

4. Sujet choc
...et peu commun traité de manière très comique !

Bonus : la bande son, notamment le générique, repris aux saisons 2 et 3, par un artiste différent à chaque épisode.
Little Boxes - Malvina Reynolds - 1962


Et vous? Avez-vous vu Weeds? Qu'en avez-vous pensé?
Quelle est votre série TV préférée?